Bugle Anglais Militaire

Le bugle anglais militaire est recherché par un petit nombre d'enthousiastes. La qualité d'un bugle anglais militaire en fait un instrument recherché par les amateurs d'instruments militaires.

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Bugle Yamaha Occasion

De nombreux joueurs de bugle cherchent à acquérir un bugle Yamaha d'occasion. Les bugles Yamaha sont populaires en occasion car ce sont des bugles de qualité et l'on peut les trouver relativement facilement. Parmi les bugle Yamaha d'occasion intéressants l'on trouve le bugle Yamaha YFH 631 et le Yamaha YFH 731. Ces bugles restèrent longtemps au catalogue et l'on en trouve donc assez facilement en occasion. Ils constituent des alternatives intéressantes aux bugle neufs de prix indentiques mais de qualité moindre.

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Bugle Couesnon

Ceci est la suite du billet sur la compagnie Couesnon. Consulter bugle couesnon pour consulter la première partie.

L’incendie détruisit toutes les archives de la compagnie, y compris celles qui permettent de déterminer l’année de fabrication d’un instrument à partir du numéro de série. C’est une question posée très fréquemment et il ne semble pas y avoir de réponse. Les numéros de série des instruments Couesnon ne semblent pas suivre de logique. De plus, un nombre extrêmement minime d’instruments Couesnon se trouvent toujours aux mains de leur acquéreur original, ce qui rend la mise en place d’une base de donnée sur les numéros de série et la date de fabrication impossible. Cependant, l’année de fabrication selon certains pourrait être determiné par le numéro sous le mot Paris, 6 voudrait dire 1906, 24 voudrait dire 1924 et ainsi de suite.


Couesnon opère encore de nos jours à Château Thierry, bien que l’entreprise n’emploie plus que 25 personnes. Le fabricant de tambour français P.G.M. racheta l’entreprise en 1999 pour lui donner une nouvelle vie. La compagnie est désormais connue sous le nom de P.G.M. Couesnon. Leurs instruments les plus populaires sont les cors de chasse et les tambours. Malheureusement les outils pour fabriquer les trompettes en Do, Sib et piccolo ont été volés, l’atelier ne fabrique plus que des instruments pour fanfare comme le bugle, cornet, tuba, cor, cor de chasse, clairon et autres. Tous les instruments sont fabriqués à la main et de très bonne qualité.

Sont fabriqués aujourd’hui trois types de bugle Couesnon:

· 137 Tradition, le plus petit
· 142 Monopole et le 142 CR (cuivre rose)
· 144 qui est la version à 4 pistons

Couesnon produit 50 à 60 bugle par an, don’t la plupart sont vendus au Japon. Du fait de la production très limité, il est difficile de les trouver dans les magasins de musique. La marque ne possède pas de distributeur. Pour acheter un bugle Couesnon il faut donc le commander directement à l’usine. Vous pouvez consulter le site web de la compagnie.

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Bugle Couesnon

Couesnon est l’un des grands noms du bugle. La compagnie employait à une époque plus de 1800 personnes en France. Le bugle Couesnon était couramment utilisé par les trompettistes de jazz américains dans les années 1950. Il était largement diffusé, sonnait très bien et était peu onéreux. Son design a été copié par la grande majorité des constructeurs de bugle. Pourquoi est-il donc si difficile de se procurer un bugle Couesnon de nos jours ?

Justement est-ce si difficile? En fait pas tant que ça. L’entreprise originelle fut créée en 1827 à Château Thierry, une ville fameuse pour la fabrication de cuivres. L’entreprise fut achetée par la famille Couesnon en 1883 et possédait déjà une superbe réputation en tant que fabricant d’instruments de qualité. L’entreprise fabriquait des percussions, des bois, des cuivres et des bugles militaires. La compagnie, sous la houlette d’Amédée Couesnon pendant 48 ans, fut récompensée par de multiples médailles et récompenses pour la qualité de ses produits et son innovation technique.

Un grand nombre de leurs cors étaient exportés aux Etats-Unis où ils étaient parfois vendus sous le nom des magasins de musique locaux ou d’autres appellations diverses.

En 1911, Couesnon possédait 11 usines et plus de 1000 employés. Leurs produits étaient à cette époque très recherchés et de nombreux grands joueurs de l’époque jouaient sur des bugle Couesnon ou autres instruments de la marque. Bien qu’ils fabriquaient tous types d’instruments ou presque, Couesnon commença à se spécialiser si l’on peut dire dans les années 1930 dans la production d’instruments pour les fanfares et devint petit à petit le seul fournisseur, ou presque, d’instruments pour les fanfares en France. A cette époque avant la guerre, l’usine de trompettes Couesnon était voisine de l’usine de trompettes F. Besson, où étaient fabriquées les meilleures trompettes d’avant guerre. Curieusement, les trompettes Couesnon étaient pratiquement identiques à celles de F. Besson.

L’industrie de la musique commença à changer à la fin de la seconde guerre mondiale mais Couesnon continua à fabriquer principalement des instruments pour les fanfares militaires. Le marché de la trompette en Do/Si bémol était dominé par Selmer, Courtois, LeBlanc et même par quelques gros fabricants américains. Le grand public continuait à associer Couenon avec les fanfares militaires et non les orchestres ou groupes de jazz. A partir des années 1960, Couesnon tenta de s'aventurer au delà du marché des fanfares. Il sortirent une ligne d'instruments de qualité appelée "Monopole Conservatoire" en espérant séduire les étudiants au conservatoire. Ils employèrent Mr Bernard Soustrot (premier prix à la compétition Maurice André en 1976) comme testeur qualité des trompettes piccolos fabriquée à l'atelier Couesnon. Cependant malgré ces efforts le marché traditionnel de la marque continuait à se réduire à mesure que les fanfares disparaissaient. Selon Richard Dundas, soixante pour cent de la production était exportée avec presque trente pour cent pour les Etats-Unis. Face aux ventes médiocres, Couesnon fut contraint de vendre ses usines et en 1969 l'usine principale à Château Thierry fut victime d'un incendie important qui détruisit les archives. En 1978, le contrat d'importation vers les Etats-Unis à travers la compagnie Gretch se termina et les instruments Couesnon se firent rare en Amérique après cette date.

A suivre...

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Histoire du Bugle

L’ancêtre du bugle se trouve du côté du clairon, plus précisement du côté du Halbmond (demie-lune) d’Hanovre. Fabriqué en cuivre, il était en forme de U, avait un gros diamètre et jouait en Ré. Le Halbmond était lui-même une evolution d’un autre bugle allemand. Une version militaire du Halbmond était utilisée dans les forces d’Hanovre en 1758.

Le bugle ancien était similaire aux instruments utilisés au 4ème et 5ème siècle avant J.C. par l’armée romaine. On peut voir ces instruments, le Cornu et la Buccina dans certaines fresques de l’époque romaine.

Le Halbmond d’Hanovre resta l’instrument de choix de la chasse allemande. Le halbmond fit chemin jusqu’en angleterre en 1778, où on le nomma bugle horn. Un certain Robert Hinde l’utilisa, aux côtés de trompettes et de cors, pour communiquer avec des troupes militaires sous le feu ennemi. Le bugle horn militaire fut redessiné aux alentours de 1800 en forme de trompette, probablement par William Shaw, un fabricant d’instrument de Londres. Il jouait dans la clé de Do. Cette version fut par la suite adoptée en allemagne et le nom de halbmond fut abandonné. Il prit le nom de flugel horn, ou bugle.

A ce stade de l’histoire du bugle, nous nous tournons vers l’Irlande, plus particulièrement vers Joseph Halliday de la malice de Cavan Militia, qui mis au point en 1910 un bugle à pistons, le prototype du bugle que nous connaissons de nos jours.

En 1845, le fabricant belge d’instruments Adolphe Sax, inventeur du saxophone, posa patente sur une large gamme de saxhorns. Certains étaient pratiquement identiques aux bugles. Le prototype de bugle de Sax était le contralto en Si bémol. Lorsque son apparence fut plus tard changée pour celle d’une trompette, il fut compare avec le bugle à touches développé en 1818 par Stolzel et Bluhmel. Utilisant des pistons Berlin et le style moderne français et anglais, il possédait une courte embouchure de forme cylindrique, menant droit au premier piston. L’e,bouchure avait un diamètre moyen mais une grande profondeur (environ 18mm). L’instrument fut importé en Angleterre par Dutin et Jullien et l’on pouvait le trouvait fréquemment dans les orchestres anglais à partir de 1860.

A suivre...

Les Bugles Yamaha

Yamaha est la marque de choix pour ceux à la recherche d’un bugle de qualité professionnelle à prix abordable. Les bugle Yamaha sont de grande qualité et sont vendus à prix raisonnables et bénéficient du grand savoir faire de Yamaha en tant que fabricant d’instruments de musique. Le bugle Yamaha YFH 631G de perce moyenne est en cuivre doré. Son apparition, en cuivre rosé à l’époque, remonte à l’époque où les numéros de série Yamaha ne possédaient que trois chiffres et où 6xx voulait dire laqué et 7xx plaqué argent. Le bugle Yamaha YFH 631G (laqué) se vend généralement 1700 euros bien qu’on le trouve aux alentours de 1400 euros chez Woodbrass. Yamaha décrit ce bugle comme ayant “une cloche de 6 pouces en cuivre doré qui produit un son doux et onctueux caractéristique du bugle." Le bugle Yamaha YFH 631GS se trouve lui aux elentours de 1800 euros mais on peut le trouver à environ 1450 euros ailleurs, comme chez Woodbrass toujours. La finition argent, selon Yamaha, "produit un son doux et riche idéal pour les nuances musicales subtiles."

Les prédécesseurs de ces bugles, les bugle YFH 631 et YFH 731 (bugles identiques mis à part que le 731 avait une cloche en cuivre jaune et était plaqué argent) restèrent au catalogue Yamaha pendant des années et on l’on peut trouver nombre de ces bugle en occasion. Ils constituent de bons bugle d’occasion.

La perce moyenne de chez Yamaha est un bon compromis entre les deux perces plus extrêmes. La plupart des bugle Yamaha de qualité professionnelle sont fabriqués au Japon bien que certains modèles sont aussi fabriqués aux Etats-Unis, comme le bugle YFH-631G. Le lieu de production peut être déterminé en regardant le numéro de série de l’instrument. Si le numéro de série est suivi d’un "A", le bugle a été fabriqué aux Etats-Unis, si ce n’est pas le cas il a été fabriqué au Japon.

Quelques Bons Bugle d'Occasion

La meilleure solution pour ceux au budget réduit mais désirant tout de même posséder un bugle de qualité est d’acheter un bugle de qualité professionnelle en occasion. Les bugle de chez Yamaha se trouvent régulièrement en occasion pour environ 500 – 800 euros.

Les bugle Yamaha et Kunstel sont populairers sur le marché de l’occasion. Un autre bon choix sont les bugle de la marque française Couesnon, qui assirent dans les années 50 et 60 la popularité du bugle en tant qu’instrument de jazz. Les bugle Couesnons étaient appréciés des joueurs de l’époque pour leur son et leur prix abordable bien que leur intonation laissait parfois à désirer, tout comme leur construction. De nos jours, le bugle Couesnon est presque devenu un bugle culte et il est souvent plus cher que les bugles de qualité identique. De nos jours, Couesnon a repris la production de bugle et produit aujourd’hui des bugle de grande qualité en petite quantité.

D’autres bugle de marque française représentant souvent de bonnes occasions sont ceux des marques Courtois, LeBlanc et parfois Selmer. Le bugle de la compagnie F. E. Olds and Sons, Co fabriqué dans les années 1960 et 1970 est une copie du Couesnon, mais bénéficie d’une fabrication plus solide. On les trouve souvent sur le marché de l’occasion à des prix intéressants.

Acheter un Bugle d'Occasion

Le bugle est un instrument de la famille des cuivres ressemblant à la trompette mais avec un cornet plus large et conique. Certains le considèrent comme faisant partie de la famille des saxhorn développée par Adolphe Sax, qui a aussi développé le saxophone; cependant, d'autres historiens affirment que le bugle dérive de l'instrument développé par Michael Saurle père à Munich en 1832, pré-datant donc le travail d'Adolphe Sax.

Le bugle a le même registre en Si que beaucoup de trompettes et de cornets. Le bugle possède généralement des valves à trois pistons et emploie le même système de doigté que les autres cuivres, mais des bugles à quatre valves et valves rotatives existent aussi. Le bugle peut ainsi être joué par les trompettistes et les joueurs de cornet sans trop de problèmes, bien qu'il faudra certainement que ces derniers adaptent un peu leur jeu. Le bugle est généralement joué avec une embouchure plus conique que la trompette ou le cornet.

Certains bugle modernes possèdent une quatrième valve. Cela leur ajoute une gamme de sons bas intéressante, ce qui, couplé au son profond du bugle, offre une extension sympathique des capacités de l'instrument. La plupart du temps cependant, la quatrième valve est utilisée à la place de la combinaison de la première et troisième note, qui est plutôt aigue.

Le son du bugle est plus "gras" et généralement considéré comme plus "voluptueux" et "profond" que celui de la trompette ou le cornet. Le son du bugle a été décrit comme étant à peu près entre celui de la trompette et le cor d'harmonie. Le bugle est aussi agile que le cornet mais est plus difficile à contrôler dans le haut registre, où généralement il "tombe" sur les notes moins facilement. Le bugle n'est en général pas utilisé pour les morceaux agressifs et puissants comme peuvent l'être la trompette ou le cornet mais est plutôt utilisé pour les morceaux plus doux et introspectifs.